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IMMOBILIER : MALGRÉ DES VENTES EN CHUTE LIBRE, LES PRIX SONT EN HAUSSE

clé dans la main

En dépit des ventes en baisse, le prix de l’immobilier enregistre 5,1% de hausse annuelle, selon le baromètre LPI-SeLoger publié mercredi 24 juin.
La crise sanitaire a laissé des traces : les ventes immobilières ont brutalement chuté, -62,1% sur trois mois. Pourtant, le prix de l’immobilier en France a continué à augmenter, avec une hausse annuelle de 5,1% des prix au mètre carré. Les vendeurs restent toutefois ambitieux, malgré la chute brutale du nombre des ventes, en raison de la crise sanitaire. « La hausse des prix affichés, soit 4,2% sur trois mois, est presque deux fois plus rapide qu’il y a un an », commente le porte-parole du baromètre, « alors que le marché était en pleine expansion ». En mai dernier, SeLoger avait publié une étude qui mesurait la confiance des Français : trois sur quatre se disaient confiants quant à la concrétisation de la vente de leur bien. Par ailleurs, les prix de vente baissent dans certaines villes. Cela concerne plus précisément 5% des communes de plus 100 000 habitants, et le recul s’établissait à 8% en mars dernier dans les grandes villes, alors qu’il avait culminé à 12% en janvier et février derniers. La hausse est même assez importante dans d’autres villes, comme Besançon et Mulhouse, les prix de l’immobilier augmentent de 10% : le prix au mètre carré atteint 2 185 euros, soit 11,7% de hausse, et 1 648 euros à Mulhouse, soit 13,6% de hausse. En revanche, à Bordeaux, les prix des logements baissent, à 0,7%, avec 4 856 euros le mètre carré, et la chute est importante à Nîmes avec 5,6% sur un an, à 1 965 euros le mètre carré.
Autre enseignement de ce baromètre, la hausse des prix des maisons. L’offre est restreinte et la demande, forte. En conséquence, les prix des maisons individuelles augmentent dans les métropoles de Brest ou encore de Toulouse, dans le centre comme en périphérie.